La masse cérébrale traite 400 000 000 000 bits d’information par seconde mais ne nous sommes conscients (par une présélection destinée à l’hippocampe) que de 2 000 bits.
Si les règles algorithmiques de tri sont inhérentes aux conditions d’évolution de l’espèce humaine et des dangers qui ont constitué son quotidien sur plusieurs centaines de milliers d’années, le système de visualisation, même symbolique de ces informations gagnera à se faire dans des environnements 3D avec une représentation du corps, que le cerveau a appris à mieux appréhender sur cette période d’évolution.
Le métavers ou les usages partagés des mondes virtuels, s’inscrit dans l’histoire des supports d’écriture et interroge même la dynamique des savoirs : La logistique de l’information conditionne l’émergence de savoirs.
On va quand même pas se métaverser pour si peu ? …. Ben peut-être !