4 – L’histoire du Métavers commence ici (4/8) : Le rôle du corps dans les apprentissages

10 125 heures de classe « culs posés,  bouches cousus » pour reprendre l’expression de Michel Serres par enfant (primaire + secondaire), alors que tous les professionnels de la santé et de la pédagogie s’accordent pour dénoncer l’inefficience cognitive de la position assise.

Ceci n’échappa pas à Maria Montessori mais  Antonio Damasio associe en 1999 « corps » , « carte mentale du corps » et « émotions » dans les mécanismes de cognition et de mémorisation et rend ainsi toute leur légitimité à de nombreuses pratiques de l’Education Populaire .

Cela pose aussi les bases de la compréhension de la relation Avatariale qui redonne un corps désinhibé à l’apprenant renforce les mécanismes cognitifs comme le prédisait l’ « effet faitiche » de Bruno Latour.

Le métavers ou les usages partagés des mondes virtuels, s’inscrit  dans l’histoire des  supports d’écriture et interroge même la dynamique des savoirs  Un « corps » nécessaire dans la chaine logistique du savoir.Mais…

On va quand même pas se métaverser pour si peu ? …. Bon peut-être !